La Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) qui exploite le site du Parc de la Chute-Montmorency chevauchant l’est de l’arrondissement de Beauport et la municipalité de Boischatel a pour projet d’ici 2026 de déplacer vers le nord le grand stationnement à trois paliers du Manoir Montmorency pour y aménager un vaste jardin anglais inspiré de l’époque victorienne.
Un appel d’offres a été lancé en juin pour déplacer plus au nord et agrandir le stationnement accessible aujourd’hui à l’intersection de l’avenue Royale et du boulevard des Chutes qui offre pour les visiteurs 139 cases de stationnement pavées pour autos, dont trois pour handicapés, et une case borne recharge électrique. Les travaux débuteront en septembre prochain pour se terminer à la fin de l’été 2026. On y retrouvera alors 158 cases de stationnement pavées dont quatre bornes de recharge et 128 cases de stationnement engazonnées pour autos.
Selon Olivia Jacques, conseillère en relations avec les médias à la Sépaq, cette relocalisation et cet agrandissement du stationnement faisaient partie de la phase 2 du plan de réaménagement annoncé en 2019 pour harmoniser et bonifier l’expérience au Parc de la Chute-Montmorency.
AMELIORER LA FLUIDITE D’ACCES SUR LE SITE
« Les objectifs du projet sont d’améliorer l’expérience pour les citoyens et les visiteurs, la fluidité d’accès sur le site, ainsi que la sécurité en réduisant les conflits d’usage piétons et véhicules, d’augmenter la capacité d’accueil véhiculaire et de mettre en valeur le site avec un parcours client redéfini par l’ajout d’un jardin anglais en lien avec la riche histoire du parc », a souligné au journal Brigitte Bouchard, conseillère en communication et médias sociaux au Parc de la Chute-Montmorency.
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Les trois paliers de stationnement face au Manoir Montmorency cèderont leur place à un jardin anglais à la fin de l’été 2026. Ce projet permettra de plus que doubler le nombre de cases qui seront réaménagées au nord à l’ouest de l’établissement en vue de réduire le stationnement des visiteurs dans les rues avoisinantes qui est décrié depuis plusieurs années par les résidents du secteur. (photo : gracieuseté Pierre Ménard Beauportrait)
